• Territoires d'Olivier Norek

    Territoires d'Olivier Norek

     

     

     

    Un polar sous haute tension, mais que nous réserve le troisième !!!

     

     

     

     

     

    Mon avis : 

    Imaginez vous êtes tranquillement assis dans votre super fauteuil IKEA et son repose-pieds assorti, mais la guerre fait ravage tout autour de vous, les bastos vous frôlent, les bombes lacrymo vous piquent les yeux... GRENADE me crie t'on sur la gauche, le palpitant est à son rythme de croisière, vous ne répondez plus de rien, le moindre bruit pourrait vous faire hurler votre mère... TING ! Le micro-ondes sonne... ce n'est que mon thé... prêt à être consumé... pardon consommé. Waouh comment peut-on être autant au taquet et under pressure comme dirait Freddie...

    Une question s'impose à mon esprit, j'aimerai bien savoir comment a été travaillée la scène avec le chat... une mise en pratique peut-être ? Oh My God, je ne veux même pas connaître la réponse en fait... mais quelle scène marquante, bon pas perturbante pour moi mais ah oui quand même, fallait le faire...

    Ce que j'aime dans la plume d'Olivier Norek c'est l'authenticité et le fait que cela me semble familier, disons que je n'étais pas flic à la PJ dans une ancienne vie mais le vocabulaire spécifique général je le connais et quand je le vois parler de la légitime défense j'ai envie de le remercier de mettre le doigt sur une évidence... qui fait mal.

    "Pour la faire courte, attendez de vous prendre une balle dans le cul pour être sûrs de pouvoir riposter."

    Et là je me demande pourquoi dans chaque chronique que je fais de l'auteur le mot de trois lettres est toujours dedans ? Je vous vois chercher lequel, il n'y en a que 2 dans la citation et le mien peut faire un prénom si on inverse le sens de la lecture, vous avez mis le doigt dessus ? Ok j'arrête le côté salace, restons sérieux s'il vous plaît. Peut-être que c'était plus percutant pour moi, mais passons. Au passage j'ai aussi repéré la "rue Nicolas-Lebel", j'aime les clins d'oeil comme ça entre auteurs.

    Ce deuxième volet est tout aussi addictif que le premier, et même davantage. J'ai vraiment hâte de lire le troisième et de voir ce qu'il nous réserve. En attendant celui-ci n'aura pas fait long feu puisqu'il a été lu en 24h avec interruption, moins long qu'une GAV !!! 

    Ce sera un coup de coeur comme son prédécesseur "Code 93".

    « L'heure des fous de Nicolas Lebel Les années volées d'Annie Musetti Fredette »

  • Commentaires

    1
    Mardi 7 Juin 2016 à 07:05

    J'allais te le dire, il a été vite consommé celui-ci !!! Ps j'ai trouvé les 3 lettres ;)

      • Mardi 7 Juin 2016 à 08:13

        hihi ;) Oui dévoré...

    2
    Mardi 7 Juin 2016 à 08:56
    David
    Elle est excellente ta chronique j'adore !!!
    C'est cul le mot LOL !
    Comment ça fallait pas le dire ??!!
      • Mardi 7 Juin 2016 à 09:13

        huhu*, comment t'es trop fort ! merci mon David, la chronique je l'avais en même temps que ma lecture, première fois que j'étais obligée de commencer mon avis avant d'avoir fini le livre... ça travaillait trop là-haut ;) 

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