• The Originals, tome 1 : l'Ascension de Julie Plec

    The Originals, tome 1 : l'Ascension de Julie Plec

     

     

     

    Je reprends les mots de la créatrice de cette série (tv et livres) : une lecture plein de mordant.

     

     

     

     

    Résumé :

    Ils sont trois frères et sœurs, et ils sont les plus vieux vampires du monde. Après une longue errance, Elijah, Rebekah et Klaus Mikaelson sont de retour à la Nouvelle-Orléans, déterminés à recouvrer le pouvoir qu’ils y exerçaient des siècles plus tôt. La ville, longtemps déchirée par les querelles entre sorcières et loups-garous, voit les deux clans se réconcilier, grâce notamment à une jeune sorcière considérée comme la princesse de cette communauté surnaturelle. Issue de l’union d’un loup-garou et d’une sorcière, Vivianne est promise à un loup-garou pour sceller l’alliance des deux clans. Malgré la désapprobation de son frère et sa sœur, Klaus s’est promis que Vivianne sera sienne, et il est prêt à tout pour y parvenir. Nous sommes en 1722, ils sont les vampires des origines, « The Originals »…

    Mon avis : 

    Merci à ma jumelle de lecture, Stéphanie qui m'a permis de me plonger dans cette lecture et de retrouver Klaus, Rebekah et Elijah que je connais à travers la série The Vampire Diaries et le spin-off The Originals tous deux du fait de Julie Plec qui a eu la bonne idée de faire cette trilogie sur nos vampires originaux préférés.

    On les suit ici à la Nouvelle-Orléans mais pas à la même époque que celle de la série TV, on les redécouvre fidèles aux personnalités qu'on leur connaît et ça fait rudement plaisir ! Je suis fan d'Elijah,de sa diplomatie et de son langage et comportement so british, de Rebekah la tornade blonde qui n'aspire qu'à une vie normale, à sa part de bonheur, toujours en quête de l'amour, et Klaus que j'apprécie de plus en plus, lui le "bâtard" qui se méfie de tous et qui est prompt à poignarder sa propre famille (bon il les tue pas en faisant ça, ils sont juste en sommeil) mais qui sait montrer (rarement) quelques faiblesses qui le rendent touchant.

    La démarche de Julie Plec, autre que financière bien entendu, était d'approfondir l'histoire de nos protagonistes, chose plus difficile à travers un épisode de 42 minutes par semaine et nous permettre de les voir évoluer dans cette ville la première fois qu'ils y ont vécu avant d'être obligés de fuir lors de la venue de leur père (oui c'est pas un marrant lui, il veut juste les tuer pour de bon).

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