Quand les Indiens se révoltent.

Mon avis : 

Stanislas Petrosky  nous parle des Indiens, de leur respect pour la nature et des ancêtres, de leur simplicité tout en y opposant l'homme Blanc, sa violence, sa moralité plus que douteuse loin d'être éthérée. 

Une histoire mettant en scène une vengeance, maîtrisée et qui prend son temps afin que les coupables agonisent dans de longues souffrances. Qu'ils pensent que leur méfait ne sera pas puni pour que le couperet tombe avec plus d'efficacité, un prêté pour un rendu. Tout cela grâce à la sagesse du vieil Amarok, car le jeune sioux Wandu voulait laisser éclater sa colère devant l'horrible crime de ces Blancs. 

Un sujet qui me touche particulièrement, tant ce génocide est horrible. Un peuple natif qui s'est vu écarté de ses terres, qui a subi la maladie et la perversité plutôt que le partage des différentes cultures. 

Une nouvelle coup de coeur.

A PROPOS DE L'AUTEUR

Né en 1975 sur les bords du lac Sevan, en Arménie. Stanislas Petrosky quitte son pays à l’âge de dix-sept ans pour rejoindre la France. Il glissera dans une délinquance de plus en plus dure et connaîtra de nombreux démêlés avec la justice. C’est lors de ses séjours à l’abri du soleil qu’il se découvrira une passion pour l’écriture, sombre de préférence, en commençant par les nouvelles.

Biographie
Après avoir vainement essayé de faire croire à ses lecteurs qu'il était un réfugié arménien, Stanislas Petrosky a décidé de tomber le masque mortuaire. Si Petrosky n'est toujours pas son vrai nom, on sait désormais que l'individu qui se cache derrière ce pseudonyme est bien français et vit en Normandie.