Dans ce premier roman, Harris met en place les protagonistes que l'on retrouve dans "Le Silence des agneaux", puis dans "Hannibal."

Résumé :

À un mois d'intervalle, deux familles entières sont massacrées à leur domicile, l'une à Birmingham, l'autre à Atlanta.

Jack Crawford, chef du département des Sciences du comportement du FBI, charge Will Graham de trouver celui que la presse a baptisé "le Dragon rouge". Par le passé, Graham a montré une aptitude incroyable à se mettre dans la peau d'un psychopathe en arrêtant le Dr.

Hannibal Lecter, un assassin bestial. Il consulte donc Lecter, désormais emprisonné à vie, pour comprendre et analyser les comportements du tueur. Il constate qu'il a sévi la première fois un soir de pleine lune, et la seconde un jour avant la fin du mois lunaire.

Le FBI a donc un peu plus de trois semaines pour mettre fin à ce carnage.

Mon avis :

Livre choisi car publié l'année de ma naissance, j'avais vu l'adaptation de Brett Ratner sortie en 2002, avec Ralph Fiennes en Dragon Rouge, Edward Norton en Will Graham et Anthony Hopkins en Hannibal Lecter, j'avais donc envie de voir ce que donnait le livre vu que mon souvenir du film est plutôt ancien (oui normalement je n'aime pas lire un livre APRES avoir vu son adaptation).

Bien évidemment je m'imaginais les acteurs dans leurs rôles respectifs mais cela ne m'a pas tellement gênée, bien au contraire au vu du talent de ces trois là.

Un très bon livre qui fait partie de la tétralogie de Hannibal Lecter, brillant sociopathe et légèrement porté sur le cannibalisme... ici point de dîner frugal ou sur le pouce mais un Dragon Rouge qui se sent investi d'une mission, que je vous propose de découvrir en le lisant.

J'ai beaucoup aimé cette lecture malgré les meurtres horribles commis, et surtout la psychologie que l'on a des personnages, Graham et le Dragon Rouge sont vraiment très intéressants et on ne sait pas finalement qui est le sociopathe et qui est le policier tant leurs esprits sont en communion, tout comme précédemment avec celui de Lecter, qu'on voit ici en fil rouge et on se délecte de l'image de Anthony Hopkins encore en tête... oui je sais bien ma chronique rend hommage autant au livre qu'au film, mais là c'est presque indissociable...