Quelle belle idée de Jacques Saussey d'associer la pancarte pour Fleur Sauvage avec le logo du Printemps du livre de Montaigu. La fleur et l'encre sont indissociables, sauvons les mots, sauvons les livres, sauvons les éditeurs, les libraires, les auteurs... Les fleurs sauvages sont résistantes et notre imaginaire en a besoin. 

 

 

Montaigu cette année était l'occasion de croiser la route d'une lectrice itinérante, fidèle de The Love Book et du Challenge Ligue de l'Imaginaire. Qui aime à parcourir la France à travers les salons littéraires et en profiter pour découvrir les belles régions qui composent notre pays.

Françoise qui revenait le matin même de Mauves en noir, après une bonne dégustation d'huîtres, se posait au bar du Théâtre de Thalie pour compléter sa dégustation alimentaire et livresque. L'occasion pour nous de passer un peu de temps ensemble et d'échanger sur notre amour des livres. 

 

 

 

 

L'avantage cette année est que je connaissais la configuration des lieux puisque j'avais découvert le salon l'année dernière (Montaigu 2016 ici) mais avec un nombre très important d'auteurs, un plan est toujours utile et ils font ça bien à Montaigu. Dès l'entrée des hôtesses sont là pour répondre à vos questions et il suffit de chercher le nom dans le livret spécialement conçu pour connaître son emplacement, son temps de présence etc.  

Premier virage à gauche et nous voilà devant David Khara et Jacques Saussey, côte à côte ça tombe bien, l'ambiance va être drôle et chaleureuse. Surtout quand on a l'habitude de lire les statuts du premier (la bonne humeur du jour toujours avec humour) et quand on voit la bonhomie du second. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quel plaisir de rencontrer enfin David Khara et je le remercie de me suivre pour (quasi) toutes les idées folles qui me passent par la tête même si ce n'est pas toujours très limpide ;) Je vous ai déjà dit que j'avais adoré sa "duologie" vampirique et je me rends compte maintenant qu'avec mon esprit en surchauffe j'ai carrément zappé de le supplier pour la suite des aventures de Barry et Werner. Quelle joie de revoir Jacques Saussey, je n'ai pas pu parler en détails de L'enfant aux yeux d'émeraude, que j'avais commencé quelques jours avant en prévision du salon, puisqu'il me restait alors 60 pages, avalées le soir-même et waouh !!! Si vous voulez en savoir plus ma chronique est là. 

 

 

 

 

Je remercie David et Jacques, auteurs panneautés. 

 

 

 

 

 

 

 

Montaigu marque enfin la rencontre avec la douce et belle Amandine, qui, je peux vous le confier, est une fille extra et au top... mais je ne peux pas encore vous dire pourquoi... une surprise est à venir dans les prochains jours ! Merci Amandine tu es une complice parfaite (coeur avec les doigts pour toi). Un petit coucou à Stéphanie, aussi furtif que je l'étais lors du salon. Je dois vous dire que dans ces moments là j'ai les yeux qui pétillent, le souffle court et la tête en ébullition. Difficile de me contenir, je papillonne un peu partout et je nage comme un poisson dans l'eau. Bref je suis partout et nulle part en même temps, je suis "multipass" comme dirait Lilou Dallas. 

 Même le U Rock habituel frétille aussi vite que The Flaaaaaaaash !

Oh tiens, mais pourquoi tu as Crotales de Jean-Luc Bizien dans la main dis ?

Ah ah, mais tu as l'oeil petit padawan. Patienter tu devras, et la réponse bientôt tu auras. 

 

 

 

 

 

Un gros bisou à ma star préférée avant de continuer... ma merveilleuse partenaire d'un jour : Amandine #fleursauvagenefanerapas

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En continuant notre chemin, mon fils Benjamin me hèle car il vient de voir un livre dont j'ai parlé récemment sur le blog. Une histoire chroniquée par ses deux petits frères, Rafael et Julian. "Un serpent qui veut faire du vélo !" de Florence Brillet.

 

Et là que vois-je ? La bonne surprise, l'auteur est là pour représenter les Editions Adabam. Nous avons beaucoup parlé, des lectures adaptées pour enfants dyslexiques notamment puisque j'avais choisi cette version pour mes enfants. Des projets à venir, de la joie pour un auteur de lire l'avis des petits lecteurs, de Louisa ma petite chroniqueuse préférée qui officie sur le blog de Loley qui avait aussi fait un avis (Un joueur de foot inattendu !).

 

Un très beau moment de partage et d'échange. Un grand merci pour ça Florence. 

 

 

 

 

 

 

 

Nous quittons le monde merveilleux de l'apprentissage des mots pour celui de l'environnement avec Anne Richard, qui nous raconte les aventures de Martin et les larmes de sirène. Un très beau texte sur la mer et sur notre pollution. Une belle prise de conscience pour nos chères têtes blondes qui sont très concernées par la question. Un livre pour mon loulou 2 qui adore avoir les histoires ou les chansons en CD en plus de la lecture. L'interactivité ça lui plaît et les sujets abordés ça le touche. Une très sympathique rencontre pour ma part. Ma mère la connaissait en tant qu'actrice, Anne Richard lui a gentiment proposé une photo dédicacée et pour immortaliser cette très belle rencontre je les ai pris en photo ensemble. Une femme passionnante. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avec David Khara, il y avait également Mireille Calmel de la Ligue de l'Imaginaire (et deux Bernard dont je vous parle après) dernière membre, j'étais d'ailleurs présente lors de son intronisation à Montaigu en 2016.

 

 

Ravie de pouvoir la revoir cette année, elle est adorable vraiment. J'ai hâte de découvrir sa plume lors du Challenge LDI, elle y sera à l'honneur le mois prochain.

 

 

Comment ne pas succomber à son charme et à sa gentillesse, je suis comblée par cette deuxième rencontre. C'était un très agréable moment en sa compagnie. Merci Mireille pour tout.

 

 

J'en profite pour vous informer que Les Lionnes de Venise, son prochain livre, sera disponible plutôt vers la mi-mai et non pas début mai comme indiqué dans mes articles LDI. Je change cela très vite dès que j'ai plus de précisions. 

 

 

Je me suis dépêchée ensuite d'aller voir Bernard Minier (ma mère était déjà dans la file d'attente :P ) car comme Mireille, il avait lui aussi une intervention ensuite. Je me rends compte, en même temps que je fais ce compte-rendu, que j'ai oublié de lui parler de l'adaptation en téléfilms de son livre Glacé. Rendu différent certes mais cohérent, la prestation de Pascal Greggory était juste exceptionnelle. Nous avons parlé animaux, il aime les chats mais comme ma mère a pu le constater en quelques lectures de l'auteur, il aime bien les mettre en scène dans ses écrits. Et souvent pour les "zigouiller" dixit Bernard Minier himself. On ne peut pas nier qu'il en fait des protagonistes importants et marquants et apporte ainsi une signature. Merci beaucoup pour la photo, encore un auteur panneauté ;) 

Oh oh oh un drôle d'oiseau se cache dans la photo :P 

 

 

 

 

Une pause à l'extérieur s'imposait tant la chaleur étouffante se faisait persistante et la déshydratation pointait son nez. Direction le Théâtre de Thalie pour y retrouver Bernard Werber après s'être désaltéré dans le courant d'une onde pure. Au bar quoi ! Ma mère étant une lectrice de la première heure, elle a d'ailleurs contribué à mon éducation littéraire en passant par la case Bernard Werber, le dernier livre de l'auteur étant un cadeau d'anniversaire récurrent. C'était enfin l'occasion de rencontrer l'auteur Toulousain (elle qui vit juste à côté) en Vendée. Allez comprendre ;) 

 

 

 

 

Retour façon Die hard dans le chapiteau (nous avons eu un temps très estival ce week-end là) pour revoir Sophie Loubière, auteur que j'aime énormément et que j'ai vu plusieurs fois sur les salons. Nous avons décidé qu'une photo montrant nos états de liquéfaction était plutôt inopportune, vous vous contenterez des livres de l'auteur. Si toutefois vous souhaitiez vous abreuver de sa lumière angélique (attention sa plume est diaboliquement addictive) je vous invite à consulter les retours de Lire c'est Libre 2016, Mauves en noir 2016 et SMEP 2016. 

 

 

 

 

Dernier auteur avant de partir (bon ok j'ai pas vu Marcus Malte et je m'en suis aperçue une fois repartie du salon :P ), Nicolas Beuglet qui aime crier comme le chanteur pour notre plus grand plaisir et nous a proposé un thriller glaçant et Norvégien en s'inspirant de l'artiste Edvard Munch et son fameux cri. Nous avons aussi parlé des futurs projets le concernant. Mais je ne dirai rien, même sous la torture. Merci Nicolas, encore un auteur panneauté, ils sont juste formidables tous (gros coeur avec les doigts).

Merci pour ce formidable échange et pour ta sagesse, dont je peux manquer parfois ;) 

 

 

 

Allez on quitte le salon pour cette année, le petit contaminé vous salue et pose fièrement à son tour avec le panneau fait en soutien pour Fleur Sauvage et Aconitum : "ben oui c'est parce que j'ai fait toutes les couleurs quand même" ;) Et une photo des seuls livres achetés sur le salon (et dans le week-end), je ne sais pas ce qu'il s'est passé, j'ai perdu la fièvre acheteuse :P