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Première expérience au salon livre paris.

Première expérience dans ce salon titanesque.

J'avais beaucoup entendu d'avis sur ce salon, à propos du prix de l'entrée, à propos du prix qui était demandé pour chaque ouvrage apporté.

Je voulais me faire mon propre avis. Cette année, les organisateurs ont entendu les remarques de l'année dernière car nous pouvions emmener nos livres sans consignes. Par contre, le prix de l'entrée est toujours aussi élevé (un gros effort à faire de ce côté !)

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Le premier sourire a été celui d'une lectrice, Aurélie, copine de groupe. L'entretien était de courte durée car elle y avait déjà passé 4h. Mais j’étais contente de l'avoir vu !

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Ma première visite est pour Iman Eyitayo, auteure, blogueuse, pleine de vie et lumineuse ! Un très bon moment. Petite discussion sur ses livres bien sûr mais aussi son beau projet de maison d'édition solidaire (éditions plumes solidaires).

Je te souhaite pleins de bonnes choses de l'autre côté de l'océan ;)

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Ensuite, toujours pas de dédicace ou de livres à acheter. Je continue ma promenade. J'avais promis à Sonia Dron (auteure et blogueuse) de lui faire un coucou. Nous nous sommes retrouvées dans l'espace pique-nique (plutôt bien pensé). Elle était accompagnée de Sylvie Noël, elle-même auteure. Nous voilà discutant sur leurs expériences dans l'auto-édition, très intéressant !

Oups pas de photo mais voici leurs premiers romans :

les différents avis sur le blog des écrits de Sonia.

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Je poursuis mon chemin et là je rentre dans le cœur dense du salon. Il y a toutes les grandes maisons d'édition. Je ne suis pas passée dans toutes les allées, trop de monde, trop, trop...

Mais j'ai fait quelques photos au détour des stands :

 Bernard Werber

Sir Cédric et Karine Gièbel

Emilie Blaine

Mon petit tour continue mais autant certains auteurs sont inaccessible derrière un cordon ou une fil d'attente interminable. Autant parfois on passe entre deux allées tout près de quelqu'un et tu te dis "tiens, je le connais" et tu te rends compte que tu es à côté de Valentin Musso.

Ma promenade se finit. Pas d'achat, je n'en ai pas eu envie.

Je suis contente d'être venue. Mais si je devais y retourner, ce serait soit le vendredi soit le lundi car c'est vraiment une usine bien loin des salons intimistes que j'aime.